Quelqu'un m'a dit:
La bella ragazza d'il presidente francese é una potiche. TRADUCTION : La belle petite du président français est une potiche.
Jouer les vedettes, voilà le rôle que lui ont donné les montreurs de marionnettes de l'Elysée, conseillers de tous poils, qui veulent compenser le fait que Nico doit partager la vedette avec d'autres chefs d'état à l'envergure plus développée, ce qui le met un peu sous l'éteignoir.
Comme toutes les vedettes, elle arrive en retard et se fait remarquer en faisant du bruit. C'est un peu comme ces bourgeoises qui rentraient dans les églises peu de temps après le début de la messe pour que le petit peuple admire leurs toilettes. Elle, ce n'est pas la toilette puisqu'elle est toujours habillée comme un sac de patates avec des fringues couleur de murailles, c'est plutôt pour se montrer elle-même toujours proche de son nano mari dont les mains se baladent entre Carla et les autres invités. Remarquez-le il est volubile, dégingandé, donnant toujours l'impression qu'il vient de faire ou raconter une bonne blague à l'un de ses homologues en lui tapant amicalement l'épaule, et voyez la réaction agacée d'Obama ou de Merkel par exemple.
Mais, revenons-en à la Sarkoquine.
Son chouchou de Nico nous a expliqué qu'elle ne suivait pas la même organisation que les autres conjoints car, étant d'origine italienne, elle connaissait Rome et il n'était pas nécessaire qu'elle se joigne aux autres. Elle assistait à la conférence de presse du petit malentendu, assise à côté de l'autre nain, celui du jardin, l'ami de nanard, Bord l'eau (enfin, l'eau … dans le pastis) et on nous l'a montrée même de dos. Par contre, a-t-il dit, elle irait rendre visite aux sinistrés (mot qui se rapproche de senestre qui signifie gauche ....) et c'est ce qu'elle a fait. Elle a même donné parait-il 50 000 euros pour eux sur sa propre fortune. Je vous dis pas comment les 50 000 réfugiés vont être contents de recevoir 1 euro chacun !
Avez-vous vu le reportage dont elle a bénéficié ? Des hommes en tenues flambant neuves juchés ou suspendus à des grues dont on ne sait pas si elles doivent monter, descendre, tourner vers la gauche ou la droite, près de l'église qui sera rénovée avec nos impôts. Une caméra se fixe sur elle le plus possible et elle regarde de temps en temps si sa la lampe rouge est allumée pour être sûre qu'elle est bien à l'image avant d'esquisser un sourire figé et ridicule.
Elle nous a expliqué que son mari à talonnettes ne la faisait pas suivre dans ses bagages quand il allait dans des réunions politiques importantes (pour la visite à la queen Elisabeth 2, c'était certainement accessoire) ce qui est légèrement différent comme explication.
En fait, la vérité, c'est il giornale, le journal de la famille Berlusconi, qui la donne: c'est tout simplement une goujaterie de la part de Carlita.
Extrait : "Mme Sarkozy a déserté, sans honte, toutes les rencontres, de la rencontre avec le Pape à celles avec les sinistrés du séisme. Quelqu'un devrait dire à le 'première dame' (en français dans le texte) que le snobisme à la puissance X chez nous s'appelle de la goujaterie" et le journal d'ajouter :"Elle ne pue pas en raison de son gauchisme (…, elle pue en raison de la simple volonté d'être sur le devant de la scène" ou encore "elle se veut buona (gentille) mais elle est seulement bona (sexy).
Tout est dit. Comme son nain de mari, seul le devant de la scène l'intéresse, pour le reste, rien n'a d'importance. Voir, peut-être, mais être vue, surtout et même si ce doit être en position de potiche.